Du 25 au 27 juin 2021, les membres de l’apostolat laïc du diocèse d’Abidjan ont participé à une retraite bilan au grand séminaire d’Anyama.
Cette rencontre spirituelle avait pour thème, » En quoi la vie fraternelle a-t-elle été notre préoccupation cette année pastorale » ? L’objectif de cette retraite était de faire le bilan de l’année pastorale écoulée et de faire des propositions pour la future année. Ainsi à la fin de leurs travaux, les participants ayant constaté le manque de solidarité entre les chrétiens ont encouragé les membres des communautés nouvelles, les groupes ecclesiaux à rendre visite aux personnes âgées et aux malades.
La rencontre a invité les chrétiens à plus de solidarité, à la collaboration entre différentes fraternités et groupes de prière. Les serviteurs du Seigneur ont été encouragés à évangéliser en zone rurale par des actions concrètes.
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La bonne collaboration avec le clergé, ainsi que l’implication des groupes de prière, des fraternités et communautés nouvelles dans la vie de l’église, a-t-elle été recommandée, aux fidèles chrétiens.
Après la lecture des recommandations, les retraitants ont eu droit à la messe qui a été célébrée par le père Zebi Louga Joseph, secrétaire exécutif diocésain de l’apostolat des laïcs. Cette messe a mis fin à cette retraite, mais elle était également la messe de clôture des activités de l’apostolat laïc du diocèse d’Abidjan.
Avant la lecture des recommandations, Aka Marc, président de l’apostolat des laïcs du diocèse d’Abidjan, a proposé aux retraitants le programme d’activités de la prochaine année pastorale. Ce programme débute par une retraite et prend également par une retraite bilan.
Ahoussi Aka
« 2020 a été proclamée l’année de «Faire taire les armes sur le Continent». Comment réussir cette prouesse dans un continent aux prises avec des phénomènes prégnants tels que le terrorisme, les conflits intercommunautaires, les crises pré et post électorales ou encore les différends entre Etats ? En agissant de manière concrète sur tous ces sujets et leurs causes profondes, en se donnant les moyens politiques, militaires et diplomatiques, le pari de faire taire les armes pourrait être gagné.»