Le chef de l’État, Alassane Ouattara, a apporté son soutien à Louis Kouakou-Habonouan, Pca de l’Onep, dont la génitrice Kouamé Amenan Antoinette a été arrachée à l’affection des siens depuis le 11 août 2021 dans sa 66è année. Celle-ci a été portée en terre ce samedi 6 novembre 2021, après un hommage en présence de plusieurs autorités et de sa famille politique, le Rhdp.
La place publique dudit village était bondée de monde, ce samedi 6 novembre 2021 après un hommage en présence de plusieurs autorités, des têtes couronnées baoulé, des élus, cadres de Gbêkê et sa famille politique venus lui manifester leur solidarité. Le ministre des Transports, Amadou Koné, présent à cette cérémonie de deuil, a apporté son soutien et celui du chef de l’État au Pca de l’Office national de l’eau potable (Onep), Louis Kouakou-Habonouan à l’occasion des cérémonies funéraires de sa génitrice, Kouamé Amenan Antoinette (1955- 2021).
Au nom du chef de l’État, Amadou Koné, par ailleurs, député de Bouaké-commune, a fait don d’une enveloppe de 5 millions de Fcfa à Louis Kouakou-Habonouan comme contribution pour les obsèques de sa défunte génitrice, avant d’élever à titre posthume la défunte, au grade de Chevalier dans l’ordre national de la solidarité. « Au nom des pouvoirs qui me sont conférés, nous vous élevons au grade de chevalier dans l’ordre national de la solidarité et remettons les insignes de cet honneur à votre famille », a exprimé le Représentant du président de la République, Alassane Ouattara.
En plus d’Amadou Koné, plusieurs autorités au nombre desquelles, le président du Sénat, Ahoussou Jeannot, le ministre de l’Equipement et de l’Entretien routier, Amédé Kouakou Koffi, les têtes couronnées baoulé, les élus, cadres de Gbêkê, sa famille politique le Rhdp , de nombreuses délégations venues de toutes les contrées du pays ont tenu à manifester leur solidarité à Louis Kouakou-Habonouan dans cette dure épreuve.
Eliezer Kekrénou, Correspondant régional
« 2020 a été proclamée l’année de «Faire taire les armes sur le Continent». Comment réussir cette prouesse dans un continent aux prises avec des phénomènes prégnants tels que le terrorisme, les conflits intercommunautaires, les crises pré et post électorales ou encore les différends entre Etats ? En agissant de manière concrète sur tous ces sujets et leurs causes profondes, en se donnant les moyens politiques, militaires et diplomatiques, le pari de faire taire les armes pourrait être gagné.»