Vendredi, samedi et dimanche. Ces 3 jours ont enregistré de fortes pluies parfois modérées sur Abidjan et les villes du Littoral. Ces tombées de pluies peuvent avoir un risque d’inondation élevé dans ces communes et villes du Littoral.
La saison des pluies en Côte d’Ivoire a repris de plus belle, avec parfois son cortège de désolation, de morts dans District d’Abidjan et autres villes du pays. Selon le service de la météorologie de la Société d’exploitation de développement aéroportuaire, aéronautique et météorologique (Sodexam), les quantités de pluies ont été mesurées, ce dimanche 14 juin, à 12h00.
- Le district d’Abidjan et les autres villes du Littoral enregistreront encore des pluies modérées ou fortes.
Le district d’Abidjan et les autres villes du Littoral enregistreront encore des pluies modérées ou fortes. « Après trois jours consécutifs de pluies sur le Littoral et particulièrement sur le District d’Abidjan, le risque d’inondation reste élevé sur les différentes villes du Littoral », note le service de la météorologie.
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Concernant la situation pluviométrique sur le reste de la journée, Treichville enregistre 111.5 millimètre (mm) de pluie ; Riviera Golf (106.5) ; Cocody Djibi (36.5) ; Cocody université (56 mm) ; Koumassi (60 mm) ; Yopougon banco (63.5) ; Port Bouet (163mm). Quant aux villes de l’intérieur, Tabou est en tête avec 159 mm suivi de San Pedro, avec 117.0 mm et Sassandra enregistre 98.0 mm de pluie
Sur les prochaines 24h, il y aura des pluies modérées et fortes parfois orageuses continueront sur le district d’Abidjan, avec quelques pauses par endroits. Malgré le regain de pluies au mois de juin, selon Dr Daouda Konaté, Directeur national de météorologie, nous constatons un déficit pluviométrique par rapport à l’année 2019, à la même période.
Au niveau du littoral, pour les mois de mars, avril, mai et juin, souligne-t-il, il y a un total 416, 9 mm de pluies. Par rapport à l’année dernière et à la même période, nous avons un déficit pluviométrique d’environ 15% sur le Littoral.
Magloire Madjessou
« 2020 a été proclamée l’année de «Faire taire les armes sur le Continent». Comment réussir cette prouesse dans un continent aux prises avec des phénomènes prégnants tels que le terrorisme, les conflits intercommunautaires, les crises pré et post électorales ou encore les différends entre Etats ? En agissant de manière concrète sur tous ces sujets et leurs causes profondes, en se donnant les moyens politiques, militaires et diplomatiques, le pari de faire taire les armes pourrait être gagné.»