L’année 2021 semble être pour les autorités du Grand Ouest et particulièrement pour la région du Tonkpi le moyen de sensibiliser la jeunesse à la notion de paix, du vivre ensemble et de la cohésion sociale.
« Variance Culture« . Un concept qui met en compétition tous les jeunes de la région du Tonkpi. Lesquels durant trois jours d’activités que vont durer cette attraction tant culturelle qu’instructive feront montre de leurs potentiels à la « Fondation Koné Laman » en danse, en poésie, les 25,26 et l’apothéose, samedi 28 août. Sans omettre que demoiselles représenteront leurs départements et cités respectives aux « Concours miss variance culture 2021 ». La toute première édition placée sous le parrainage du ministre de l’intérieur et de la sécurité, le Gal Diomandé Vagondo.
Dans la soirée du mercredi 25 août, Bamba Mamery, le Président du comité d’organisation (Pco), a félicité l’initiative de Koné Laman, qui au-delà du spectacle que tous les groupes en compétition vont gratifier le public et de l’occupation saine de la jeunesse en cette période des vacances 2021, va apporter une valeur ajoutée au processus de paix, de réconciliation et de cohésion sociale déjà entamé par nos autorités. L’adjoint au maire de Man, par ailleurs, représentant le premier magistrat de la commune, AboubaKar Sidiki Fofana, a estimé que cette activité est salutaire, surtout qu’elle fait la promotion du potentiel culturel, artistique et touristique de la région du Tonkpi. Mais, en plus, elle permet de détecter des talents cachés.
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La première manche éliminatoire, sur 15 participantes au concours » Miss variance culture 2021″, 5 ont été retenues pour la finale, prévue le samedi 28 août. Au rang de ces dernières, on compte : Groguet Dorcas 1ère ; Glé Rebecca 2è; Blé Délé 3è; Alabi Elisabeth 4ème et Foungbè Triphene 5è. Dans la compétition de danse les trois premiers sont ceux qui prendront part à la finale. Ainsi sur les cinq participants du mercredi 25 août, voici comment se présente le classement : 1er les Anges de la paix du Tonkpi; 2è les Anges de Kôkô; 3è les Genies du Mont Bian, 4è la renaissance du Campus, 5è les enfants du Cafop.
Alain Zigo, Correspondant régional
« 2020 a été proclamée l’année de «Faire taire les armes sur le Continent». Comment réussir cette prouesse dans un continent aux prises avec des phénomènes prégnants tels que le terrorisme, les conflits intercommunautaires, les crises pré et post électorales ou encore les différends entre Etats ? En agissant de manière concrète sur tous ces sujets et leurs causes profondes, en se donnant les moyens politiques, militaires et diplomatiques, le pari de faire taire les armes pourrait être gagné.»