Gré Faustin, président du Synafeci, plaide pour le règlement des factures d’une valeur de plus de 160 millions Fcfa.
Dans une note datée du 9 novembre 2023, et dont Credochristi.com a reçu copie, le président national du Syndicat national des fournisseurs de l’Etat de Côte d’Ivoire (SYNAFECI), Gré Faustin, interpelle le président de la République Alassane Ouattara ainsi que le premier ministre, Robert Beugré, par rapport à ‘’la dérogation’’ concernant le paiement de la facture d’un montant de plus de quatre-vingt-deux millions (82.000.000) F Cfa appartenant à l’entreprise A.F.C.I.
Gré Faustin, dans cette note, supplie également les autorités de régler les factures d’une valeur de soixante-dix-huit millions Fcfa.
Gré Faustin, dans cette note, supplie également les autorités de régler les factures d’une valeur de soixante-dix-huit millions Fcfa de deux entreprises ivoiriennes ayant fourni des prestations pour l’organisation du 27è Congrès de l’Union postale universelle (Upu) en 2021, en Côte d’Ivoire.
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L’entreprise Afci appartient à l’une des doyens des fournisseurs de l’Etat, âgée de 85 ans, précise la note.
Signalons que le 7 novembre, le Synafeci et les entrepreneurs concernés devraient rencontrer la ministre de l’Economie, du Plan et du Développement, Kaba Niallé afin de recevoir le Synafeci et les entrepreneurs pour plancher sur les différentes factures en question.
Mais en lieu et place de la ministre, c’est son directeur de communication, Christian Koffi et Marie Laure Gogbeu, qui les ont reçus au cabinet dudit ministère, relate Gré Faustin, joint au téléphone, le samedi 10 novembre, indiquant que cette rencontre a accouché d’une souris. Car, aucune solution n’a été trouvée à la situation de factures impayées.
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Après cet échec, Gré Faustin et les fournisseurs n’ont que les yeux rivés vers la Présidence et la Primature dans l’espoir de voir leurs situations être décantées.
Aka Ahoussi
« 2020 a été proclamée l’année de «Faire taire les armes sur le Continent». Comment réussir cette prouesse dans un continent aux prises avec des phénomènes prégnants tels que le terrorisme, les conflits intercommunautaires, les crises pré et post électorales ou encore les différends entre Etats ? En agissant de manière concrète sur tous ces sujets et leurs causes profondes, en se donnant les moyens politiques, militaires et diplomatiques, le pari de faire taire les armes pourrait être gagné.»