A moins d’une semaine après le décès du journaliste Laurent Okoué, la journaliste de Rti 1 radio Côte d’Ivoire, Marie Mactar Niang, a rangé le micro, mardi 19 septembre 2023, a-t-on appris auprès d’un journaliste proche de la consœur. En moins d’un mois, la presse ivoirienne est triplement en deuil.
Hélas, la presse continue de pleurer ses journalistes. En moins de deux semaines, trois journalistes sont décédés (Mentolin Jacquelin ; Laurent Okoué et Marie Mactar Niang). Aujourd’hui, mardi, la presse a appris le décès surpris de sa consœur, Marie Mactar Niang, à Grand-Bassam.
Il y a quelques minutes en effet, nos sœurs Virginie Ahoulou et Amelie Rabet, selon le journaliste Koffi, m’ont appelé pour m’annoncer une bien triste nouvelle, le décès de notre camarade Marie Mactar Niang, 4e vice-présidente de l’Amicale des anciens de la Rti.
« Marie est donc décédée, ce matin. Ma douleur est vive et immense. Elle était par sa disponibilité, son intelligence, sa spontanéité et son réseau de relations, l’une des personnes qui soutenaient efficacement l’Amicale des anciens de la RTI », a réagi Emmanuel Koffi, président de l’Amicale des anciens de la Rti. En outre, il a présenté ses condoléances à sa famille ainsi qu’à ses amis.
La journaliste Niang a été chargée de communication à l’ex- opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (Onuci). Puis, elle atterrit à l’Inspection général d’Etat Plateau Abidjan.
Agée de 55 ans, elle part vers le Père céleste, après plus d’une trentaine d’années de métier.
Toussaint Dassioko
« 2020 a été proclamée l’année de «Faire taire les armes sur le Continent». Comment réussir cette prouesse dans un continent aux prises avec des phénomènes prégnants tels que le terrorisme, les conflits intercommunautaires, les crises pré et post électorales ou encore les différends entre Etats ? En agissant de manière concrète sur tous ces sujets et leurs causes profondes, en se donnant les moyens politiques, militaires et diplomatiques, le pari de faire taire les armes pourrait être gagné.»