La Société mutualiste des retraités du privé de Côte d’Ivoire (Somurepci) a tenu son assemblée générale ordinaire, samedi, à son siège Adjamé. De ce bilan, il ressort un résultat négatif comparativement à celui de 2019.
Le bilan financier de la Société mutualiste des retraités du privé de Côte d’Ivoire (Somurepci) pour l’exercice 2020 n’est pas fameux. Un résultat négatif comparativement à l’année 2019. C’est en partie ce qui ressort du rapport fait par le directeur général, Krass Kouamé, au cours de la 6è Assemblée générale ordinaire (Ago), qui s’est tenue, le samedi 26 juin 2021, au siège de la structure aux 220 logements d’Adjamé Abidjan. Les recettes totales sont passées de 89 191 290 Fcfa en 2019 à 80 628 190 Fcfa au terme de l’exercice 2020. La Somurepci a enregistré un résultat négatif de 934 619 Fcfa contre un résultat positif de 5 534 143 Fcfa en 2019.
Le directeur général a pour sa part fait la promesse de renverser la vapeur. Il résumera sa vision en ces termes : « Pour 2021, d’une part la redynamisation des sections devient une impérieuse nécessite. D’autre part, il nous faut trouver au moins une source de subventions et des partenariats gagnant-gagnant.
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Enfin, trouver la solution pour faire fonctionner le centre médical a plein régime, par nos médecins-conseils ou par sous-traitance avec une Ong ayant les moyens de le faire, avec un partage des excédents générés, afin de permettre à la Somurepci de faire face aux engagements financiers qu’a nécessité la construction et l’équipement du centre médical ».
Les mutualistes ont renouvelé leur confiance au Conseil d’administration, présidé par Hilarion Koffi. Tout en remerciant les membres de la Somurepci pour la confiance renouvelée à leur endroit. Le Pca a indiqué qu’ils s’emploieront à tout mettre en œuvre pour éviter que la structure ne mette la clé sous le paillasson.
Le comité de contrôle, dont le travail a également été salué, entend poursuivre son rôle d’organe de contrôle.
Une correspondance particulière
Aristide O.
« 2020 a été proclamée l’année de «Faire taire les armes sur le Continent». Comment réussir cette prouesse dans un continent aux prises avec des phénomènes prégnants tels que le terrorisme, les conflits intercommunautaires, les crises pré et post électorales ou encore les différends entre Etats ? En agissant de manière concrète sur tous ces sujets et leurs causes profondes, en se donnant les moyens politiques, militaires et diplomatiques, le pari de faire taire les armes pourrait être gagné.»