La conférence des journalistes sportifs des radios privées de Côte d’Ivoire (Cjsrpci) a organisé son assemblée générale élective, samedi, pour le renouvellement de ses instances. Cette Ag s’est tenue au siège de ladite organisation à Marcory-Abidjan, radio Zénith.
Candidat unique à ce poste. Arnaud-Aristide Atsé dit Gasa a été plébiscité au cours de cette élection par les membres de cette conférence qui ont effectué nombreux le déplacement des quatre coins de la Côte d’Ivoire. Au terme de son élection, le président Arnaud Gasa a remercié tous ceux qui ont contribué à la réussite de ce rendez-vous des journalistes sportifs des radios privées de Côte d’Ivoire.
« Je voudrais rendre grâce à Dieu et dire un grand merci aux membres pour la confiance placée en ma personne. Restons dans cette dynamique, car cela nous permettra d’être plus forts. Le slogan de ma campagne « continuons tous ensemble » doit se vivre au cours de cette mandature. Aussi, je reste disponible pour des propositions, afin de mettre sur pied un bureau exécutif pour le bonheur de notre organisation », s’est réjoui le nouveau président de la faitière.
Les actions du niveau président se décline en quelques programmes. Il s’agit, entre autres, de renouveler le partenariat avec l’Isacom Blm pour la formation en licence/master professionnelle des journalistes; multiplier la formation; le projet de la Can 2023 (village Can speakers des matchs; le micro d’or (la nuit des journalistes des radios privées de Côte d’Ivoire).
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Concernant les postes de commissariat aux comptes, Mesmer Yao et Mombohi Symphonie dit Carlos Alleluia sont élus respectivement 1er et 2è gendarmes des finances de la Cjsrpci.
C’est en mars 2007 que Gasa été élu pour la première fois à la tête de cette organisation sportive. Il rempile un autre mandat d’une durée de 3 ans.
Céline Djidjé
Sce Com
« 2020 a été proclamée l’année de «Faire taire les armes sur le Continent». Comment réussir cette prouesse dans un continent aux prises avec des phénomènes prégnants tels que le terrorisme, les conflits intercommunautaires, les crises pré et post électorales ou encore les différends entre Etats ? En agissant de manière concrète sur tous ces sujets et leurs causes profondes, en se donnant les moyens politiques, militaires et diplomatiques, le pari de faire taire les armes pourrait être gagné.»