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Côte d’Ivoire, les festivités de la 2è édition du  »club Presse  » démarrent du 28 au 29 mai à Bouaké

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Tuo Tchang, élèves et partenaires réunis pour célébrer la journée/Ph Credo

‘Le club presse » initié par Tuo Tchang, patron du site de communication en ligne Imagedafrique.net a procédé, samedi 17 avril 2021, en présence de la presse au lancement des festivités du  »club presse  » qui se tiendront du 28 au 29 mai 2021 au centre Jacques Aka de Bouaké.

Tuo Tchang, patron du site en ligne Imagedafrique.net, site de communication, a procédé officiellement à l’annonce des festivités de la 2è édition du  » Club Presse » d’Imagedafrique communication. Cette information a été donnée au cours d’une conférence de presse ce samedi 17 avril 2021.

Selon l’homme de média, ce programme se déroulera également avec les organisations de la société civile. Il tire toute sa signification dans la lecture des œuvres aussi à travers des émissions radios et proposer des solutions pour un climat social.

« Oui, effectivement les festivités de la deuxième édition Club Presse Imagedafrique auront lieu les 28 et 29 mai 2021, au Centre Culturel Jacques Aka de Bouaké. Il aura au programme un panel, des jeux et concours littéraires, des essais en journalisme, des actions sociales et une cérémonie de distinction. Plusieurs auteurs et journalistes seront au rendez-vous. Ils viendront apporter leur contribution à la révolution de la littérature ou du journalisme », a-t-il fait savoir.

Pour lui, le manque de lecture est dangereux pour les générations à venir. Ce label vient à point nommé pour apporter de l’animation à la littérature. « Le Club Presse Imagedafrique communication est notre label. Nous l’avons lancé pour apporter de l’animation autour de la littérature en général. Il s’agit de motiver tous à replonger dans la lecture. C’est un puissant instrument d’éducation.  Aujourd’hui, la lecture se meurt de nos habitudes. Les journalistes écrivent, personne n’achète pour lire. Les écrivains écrivent, personne ne donne une œuvre comme cadeau à un ami ou à un adolescent. C’est dangereux pour l’avenir des générations », a exhorté l’initiateur.

Eliezer Kékrenou, correspondant régional

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