Le candidat Ahoua Don-Mello a reçu, mardi 21 octobre 2025, à sa résidence Abidjan Cocody, la mission conjointe des observateurs électoraux de la Cedeao et de l’Union africaine, en vue de la présidentielle d’octobre 2025.
Le Prof Oluyemi Oluleke Osinbajo, ancien vice-président de la République Fédérale du Nigéria, qui conduisait la délégation était composée de Baboucar Blaise Jagne, Chef de mission adjoint, ancien ministre des Affaires étrangères de la République de Gambie, Mahamat Saleh Annadif, ancien ministre des Affaires étrangères de la République du Tchad.
Ils superviseront la campagne électorale, le processus de vote afin de « certifier » au soir du 25 octobre
Ces observateurs des institutions africaines sont Abidjan dans le cadre des élections présidentielles d’octobre 2025. Ils superviseront la campagne électorale, le processus de vote afin de « certifier » au soir du 25 octobre, si celles-ci se sont bien déroulées dans les villes du pays.
La mission conjointe a pour objectif d’observer la campagne électorale, le processus de vote et le dépouillement le jour du scrutin. La mission restera en Côte d’Ivoire jusqu’au 29 octobre. La mission est composée de 251 observateurs, soit 187 de la Cedeao et 66 de l’Ua, représentant la diversité géographique et institutionnelle du continent.

Les observateurs proviennent de 28 pays africains et comprennent des experts en administration électorale, en questions de genre, en gestion des conflits, en sécurité, en questions juridiques et constitutionnelles et en médias.
Le candidat Ahoua Don-Mello a exposé à la mission, la situation politique actuelle du pays et les conditions dans lesquelles ce processus électoral se tient. En outre, il a invité la mission à interpeller le pouvoir, ainsi que tous les acteurs politiques du pays, à l’effet de mener des actions pour un climat de paix.
Olivia Dassioko avec Sercom











































« 2020 a été proclamée l’année de «Faire taire les armes sur le Continent». Comment réussir cette prouesse dans un continent aux prises avec des phénomènes prégnants tels que le terrorisme, les conflits intercommunautaires, les crises pré et post électorales ou encore les différends entre Etats ? En agissant de manière concrète sur tous ces sujets et leurs causes profondes, en se donnant les moyens politiques, militaires et diplomatiques, le pari de faire taire les armes pourrait être gagné.»