Casimir Koffi, jeune cadre de la tribu Zêdè, de la sous-préfecture de Béoumi, a initié des rencontres avec la jeunesse de ladite tribu et les chefs de famille de son village (Sanhounty), ce week-end.
Ces rencontres avaient pour objectif de créer un cadre permanent d’échanges entre tous les jeunes de la tribu Zêdè. Répondait ainsi à l’appel de l’union du jeune et dynamique cadre du Zêdè. Tous les présidents des dix villages de la tribu ont pris part à cette importante rencontre pour parler de cohésion sociale et d’unité.
Dans un premier temps, il a salué les actions de développement du président de la République Alassane Ouattara partout en Côte d’Ivoire et particulièrement à Béoumi et l’implication active du ministre Sidi Tiémoko Touré pour donner un autre visage à Béoumi à travers tous ces travaux en cours de réalisation.
« Nous avons initié cette rencontre de deux jours pour engager les chefs de famille à la cause de notre président et par ricochet de notre leader le ministre Sidi Touré. Il faut reconnaître les différentes actions menées par le président de la République, Alassane Ouattara et du ministre des Ressources animales et Halieutiques, Sidi Touré, par ailleurs fils de Béoumi. Également demander leur bénédiction pour tout ce que nous faisons pour la tribu et Sanhounty en particulier », a-t-il fait savoir, avant d’ajouter.
« Je demande à la jeunesse d’être unie et solidaire autour des actions de développement du président de la République Alassane Ouattara et des activités menées par le ministre Sidi Touré, du moment où cette année est décrétée année de la jeunesse. Nous avons vu une jeunesse engagée pour la cause de développement surtout que celui-ci est constaté dans chacun des villages de la Tribu. Il faut noter que le village est en travaux pour le bitumage de l’axe Sakassou- Béoumi qui traverse le village », a confié.
Pour finir, cette jeunesse s’est dite prête pour toute action de cohésion et d’unité pour la tribu Zêdè.
Eliezer Kekrenou, Correspondant régional
« 2020 a été proclamée l’année de «Faire taire les armes sur le Continent». Comment réussir cette prouesse dans un continent aux prises avec des phénomènes prégnants tels que le terrorisme, les conflits intercommunautaires, les crises pré et post électorales ou encore les différends entre Etats ? En agissant de manière concrète sur tous ces sujets et leurs causes profondes, en se donnant les moyens politiques, militaires et diplomatiques, le pari de faire taire les armes pourrait être gagné.»