Mgr Raymond Ahoua a procédé, le samedi 17 octobre 2020, à la paroisse Saint-Esprit de Grand-Bassam, à l’ouverture de l’année pastorale diocésaine 2020-2021.
Je déclare ouvert l’année pastorale diocésaine 2021, avec comme thème : « Dans la grâce du jubilé, bâtissons notre église diocésaine ». Telle est la déclaration faite par Raymond Ahoua, évêque du diocèse de Grand-Bassam, au terme de la célébration eucharistique, le samedi 17 octobre 2020, à la paroisse Saint-Esprit de Mockeyville de Grand-Bassam.
Bien avant cette déclaration, l’évêque pour mettre ses agents pastoraux en mission, a remis à chacun d’entre eux une bougie, signe de la lumière du Christ devant les accompagner dans leur pastorale. Cette cérémonie a été précédée de la présentation du logo aux fidèles du diocèse venus de toutes les paroisses pour participer à cette messe.
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Dans son homélie, Mgr Raymond Ahoua a exhorté ses prêtres, religieux et religieuses et les chrétiens en général à choisir le Christ et de marcher résolument à sa suite. « Frères et sœurs, la grâce frappe à notre porte. Le moment est venu pour nous chrétiens catholiques de comprendre cela. C’est une affaire de vie ou de mort où le plus important, c’est la préparation de notre rencontre avec Jésus. Avons-nous fait le choix définitif de la personne de Jésus-Christ ? », s’est-il interrogé, afin d’amener les chrétiens à prendre conscience et à s’engager véritablement à la suite du Christ.
L’évêque a rappelé qu’en janvier 2021, l’église catholique de Grand-Bassam célébrera la clôture du jubilé des 125 ans de l’évangélisation en Côte d ‘Ivoire. « Les gens ont entendu parler du jubilé, mais est-ce qu’ils ont entendu parler de notre foi ? », a-t-il interrogé ces fidèles. Avant de les inviter à se déclarer pour Jésus et à vivre pleinement leur foi à l’image des missionnaires et des martyrs dont Saint Ignace d’Antioche que l’Eglise célébrait en ce jour.
L’évêque a souligné que tout baptisé est un missionnaire. Donc, il est invité à suivre l’exemple des martyrs et des missionnaires de la Bonne nouvelle et à exprimer publiquement sa foi, car « la question de la foi, c’est une question de vie ou de mort », a-t-il conclu. Après cette rentrée pastorale diocésaine, chaque paroisse procédera à sa rentrée pastorale paroissiale.
Aka Ahoussi