Demain, samedi, débute dans la capitale politique de Yamoussoukro, la 23è édition de la Nuit de la communication ou Ebony. Plusieurs journalistes sont en compétition pour le prix du super Ebony 2021.
Ce samedi 18 décembre s’ouvre à l’Hôtel Président de Yamoussoukro, capitale politique du pays, la cérémonie de distinction des meilleurs journalistes de Côte d’Ivoire. Ces journalistes issus de plusieurs organes de presse (radio, télévision, presse écrite et web) seront en compétition, dont le jury est présidé par Dr Alfred Dan Moussa, directeur général de l’Istc de Cocody Abidjan. Cette soirée Ebony 2021 promet avec des innovations de taille, comme l’an dernier. Panel sur le thème de l’année, cross populaire et le samedi soir, l’apothéose avec des nominés.
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L’an dernier, Marcelle Aka, journaliste à L’Inter, a remporté le prix du super Ebony sur des productions (enquête, reportage et interview) qui ont capté l’attention des membres du jury. Cette année, qui succédera à la journaliste pour ce prestigieux prix super Ebony ? Est-ce un journaliste de la presse écrite, de la télé, la radio ou du web ? On le saura bien.
Rendez-vous, ce samedi, dès 19h, sur les antennes de la Rti pour suivre cet évènement de grandeur nature de la presse en Côte d’Ivoire.
Céline Djidjé
« 2020 a été proclamée l’année de «Faire taire les armes sur le Continent». Comment réussir cette prouesse dans un continent aux prises avec des phénomènes prégnants tels que le terrorisme, les conflits intercommunautaires, les crises pré et post électorales ou encore les différends entre Etats ? En agissant de manière concrète sur tous ces sujets et leurs causes profondes, en se donnant les moyens politiques, militaires et diplomatiques, le pari de faire taire les armes pourrait être gagné.»