L’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (Unjci) a organisé, samedi, la 22e édition de la soirée des Ebony à l’Hôtel Président de Yamoussoukro. A l’issue des délibérations, les membres du jury ont retenu le nom de Marcelle Akissi Aka comme Super Ebony 2020.
La soirée des Ebony organisée, samedi 23 janvier 2021, dans les jardins de l’Hôtel Président de Yamoussoukro (centre) a donné pour vainqueur la journaliste Marcelle Akissi Aka de l’Inter du Groupe Olympe. Selon le jury présidé par Kebé Yacouba, il y a eu au total 396 candidatures.
Parmi lesquels, le Super Ebony est revenu à Marcelle Aka pour avoir glané trois prix successivement, à savoir le prix de la meilleure interview Jean Pierre Ayé, le prix du meilleur journaliste de la presse écrite et le Super Ebony. Quant à Germaine Boni, journaliste à Fraternité Matin, elle a remporté le prix de la meilleure enquête. Amy Sissoko de la Rti 1, elle a eu le prix du meilleur reportage.
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A côté de ces prix, il y a eu également les prix sectoriels. Dont celui de la lutte contre le travail des enfants est revenu à Germain Gabo de Fraternité Matin et de la déforestation. Pour celui de l’immigration clandestine et irrégulière a été remporté par N’Zi Kouakou Ernest de la Radio chandelier de Yopougon (media confessionnel). Les meilleurs journalistes en radio et télé reviennent aux journalistes Ly Aimé de Radio Yopougon, la télévision à Chek Koné de la Rti 1 et la presse numérique à Ousmane Té Tenin de la Voix des femmes.
Concernant le meilleur présentateur Télé, trois personnes ont été sélectionnées par le jury. Il s’agit de Ali Diarrassouba de la Nci, Juliette Weah de la Rti 1 et de Sharon Camara de Life Tv. Au final, le jury a retenu le nom de Ali Diarrassouba comme étant le meilleur journaliste présentateur télé.
Pour le jury, pour cette édition de la 22e soirée de la Nuit de communication, il faut réduire drastiquement le nombre des prix sectoriels, qui sont considérables.
Magloire Madjessou, Envoyé spécial à Yamoussoukro











































« 2020 a été proclamée l’année de «Faire taire les armes sur le Continent». Comment réussir cette prouesse dans un continent aux prises avec des phénomènes prégnants tels que le terrorisme, les conflits intercommunautaires, les crises pré et post électorales ou encore les différends entre Etats ? En agissant de manière concrète sur tous ces sujets et leurs causes profondes, en se donnant les moyens politiques, militaires et diplomatiques, le pari de faire taire les armes pourrait être gagné.»