Décédé d’une opération de cancer de prostate à la polyclinique Farah de Marcory, à Abidjan, la mort du détenteur du parti bleu blanc, Sangaré Aboudramane, a été interprétée par des Ivoiriens sur la toile comme un autre coup de la clinique, après le passage des caciques comme le Pr Abou N’Doli, Marcel Gossio. Son médecin répond face à cette accusation.
Je viens, en ma qualité de Camarade, de Vice-président du FPI et collaborateur du Président Abou Drahamane Sangaré, mais aussi et surtout de médecin qui l’a de tout temps suivi, rassurer les militantes et les militants du FPI, ainsi que l’ensemble de la population ivoirienne d’ici comme d’ailleurs, que rien ne s’est passé comme cela est évoqué sur les réseaux sociaux et certains médias internationaux concernant le suivi médical de notre Président à tous, à la Clinique Farah.
Au contraire, j’ai pu constater chez cette équipe médicale qui l’a suivi à la Clinique Farah, un professionnalisme et une disponibilité sans faille dans le suivi et la gestion des troubles qu’a présentés notre Président et qui l’ont malheureusement emporté.
Je ne remercierai jamais assez l’équipe médicale de la Clinique Farah.
Que le Seigneur nous bénisse tous, qu’il nous fortifie et qu’il bénisse la Côte d’Ivoire.
Professeur Gnagne Yadou Maurice
Médecin traitant du président
Abou Drahamane Sangaré
*Le titre et le chpô sont de la Rédaction