Après une formation d’un trimestre sur le management du foyer conjugal, où les apprenants ont appris les rudiments de sauvegarde ou garde-fous des crises que pourraient connaitre les foyers. Au terme de cette formation, ils ont reçu leur parchemin.
Sébastien Guéhi Apali, professeur de management du foyer conjugal, a affirmé, samedi 12 juin 2021, dans un hôtel d’Abidjan, » pour prévenir une crise conjugale, il faut savoir vivre ». Or, » pour savoir vivre, il faut être capable de créer de l’émotion positive » qui généralement se fait en quatre étapes, à savoir » créer les émotions, les cultiver, les stocker et les diffuser ».
Le professeur intervenait ainsi au terme d’une formation au bénéfice d’une quarantaine d’apprenants, dont vingt-et-un ont été assidus. Pour lui, » nous sommes parfois maladroits parce que l’intérieur est pollué. Il faut acceptiser son intérieur parce que dans un foyer on s’offre soi-même. Mais qu’est-ce que nous offrons de nous si l’intérieur est pollué ? Il faut offrir à l’autre ce qu’on a de plus beau. C’est-à-dire le tampon de l’émotion positive qui est le départ de la maîtrise de soi. »
Au cours de cette formation qui a duré un trimestre, les apprenants ont été instruits sur plusieurs modules dont, » gestion moderne du foyer conjugal », » self leadership : devenez et demeurez la meilleure version de vous-même ». Les apprenants étaient composés de personnes vivant déjà dans un foyer et de jeunes filles désirant vivre en couple. A la fin de la formation, ceux qui ont été fidèles aux cours ont reçu un parchemin des mains de Sébastien Guéhi Apali, également responsable de Transformational, la structure qui s’occupe de cette formation.
L’objectif de ces séminaires est d’emmener les hommes ou les femmes à se connaître, à connaître l’autre afin d’être un (e) bon (ne) partenaire l’un pour l’autre.
Ahoussi Aka
« 2020 a été proclamée l’année de «Faire taire les armes sur le Continent». Comment réussir cette prouesse dans un continent aux prises avec des phénomènes prégnants tels que le terrorisme, les conflits intercommunautaires, les crises pré et post électorales ou encore les différends entre Etats ? En agissant de manière concrète sur tous ces sujets et leurs causes profondes, en se donnant les moyens politiques, militaires et diplomatiques, le pari de faire taire les armes pourrait être gagné.»