Au 5è jour de la campagne présidentielle 2025, le candidat indépendant Ahoua Don Mello Jacob à travers son Représentant Mesmin Comoé, invité à l’émission Nci La Quotidienne, mercredi 15 octobre 2025, a abordé l’aspect de l’inflation en Côte d’Ivoire et d’autres pans importants du secteur économique.
Le taux d’inflation a une proportion, a affirmé Mesmin Comoé, raisonnable et acceptable. Il faut indexer cela aux Ivoiriens au vécu de ceux qui estiment que la vie en Côte d’Ivoire est devenue chère. Les secteurs comme le loyer, le transport, l’électricité etc coûtent extrêmement chers en Côte d’Ivoire. Quelle est l’origine de la cherté de la vie en Côte d’Ivoire ? S’est interrogé le Représentant du candidat Ahoua Don Mello, lors de cette émission-débat entre les candidats briguant la magistrature suprême.
Comme nous ne produisons pas suffisamment de richesses, il est demandé aux ménages de sortir de l’argent…
« La dette massive contractée par le pays, qui fait qu’au niveau du service de la dette, nous sommes obligés d’utiliser entre 30 et 40% de notre budget pour couvrir le service de la dette. Comme nous ne produisons pas suffisamment de richesses, il est demandé aux ménages de sortir de l’argent de leurs poches pour rembourser ces différentes dettes », a-t-il regretté, tout en répondant à la problématique de la dette qu’emprunte la Côte d’Ivoire depuis des années.
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En Côte d’Ivoire, le secteur informel constitue, aujourd’hui, un vivier important d’emplois. Ce secteur informel, pense le syndicaliste, c’est à peu près 50% du Pib ivoirien. Le secteur informel est vaste avec la fiscalisation, et devient difficile au niveau de l’assiette foncière de l’Etat. Les marges de manouvres se retrouvent assez réduites, et pour pourvoir combler ce déficit fiscal, on fera donc une forte pression sur les entreprises existantes.
A la fin de son intervention, le Représentant du candidat Ahoua Don Mello, fier du projet de société que porte son leader, a invité les Ivoiriens à croire à la triptyque : démocratie, souveraineté et panafricanisme, car avec Ahoua, « il sait faire ».
Magloire Madjessou
« 2020 a été proclamée l’année de «Faire taire les armes sur le Continent». Comment réussir cette prouesse dans un continent aux prises avec des phénomènes prégnants tels que le terrorisme, les conflits intercommunautaires, les crises pré et post électorales ou encore les différends entre Etats ? En agissant de manière concrète sur tous ces sujets et leurs causes profondes, en se donnant les moyens politiques, militaires et diplomatiques, le pari de faire taire les armes pourrait être gagné.»