Jeudi 18 février 2021, à la salle des 3 Ufr du décanat de l’Université Félix Houphouët Boigny d’Abidjan Cocody, peu après 9 heures, une thèse soutenue par l’impétrant N’Gbesso Aman Jean Pierre, devant les membres du jury.
« Contribution de la communication pour l’intégration des arts du spectacle au développement et à la valorisation de la commune d’Abobo en Côte d’Ivoire, de 2013 à 2018 ». Tel est le sujet sur lequel l’impétrant N’Gbesso Aman Jean Pierre a soutenu devant les membres du jury présidé par le Prof Camille Abolou.
D’emblée, l’impétrant a remercié ses maîtres pour le soutien qu’ils lui ont apporté dans la réalisation de ce travail. La substance même de cette soutenance tient en ce que : « La culture en général et les arts du spectacle en particulier ne sont pas toujours intégrés dans la gouvernance des affaires publiques de certaines collectivités locales », explique l’impétrant.
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Il s’est efforcé par la suite de démontrer la nécessité d’intégrer la culture aux programmes de développement des collectivités territoriales, et par ricochet, des Etats. Pour y parvenir, N’Gbesso a préconisé les solutions suivantes : l’amélioration de la communication culturelle qui passe par la médiation culturelle, le développement des capacités des journalistes, la mécanisation des arts du spectacle et l’équipement des médias locaux.
Si quelques remarques de perfectionnement ont été apportées, l’œuvre scientifique a été satisfaisante, car l’impétrant a reçu la mention très honorable, à la grande satisfaction de sa famille et du public venu nombreux. Cette thèse présente de l’intérêt dans la mesure, où elle ouvre des perspectives et des chantiers non encore engagés dans le domaine de la communication et des arts du spectacle pour impulser le développement. Elle devrait inspirer nombre d’impétrants aux thèses à venir.
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Pour cette soutenance de thèse, il y avait comme membre du jury Prof Camille Abolou, les rapporteurs Kamaté Banhouman, Adigran Jean Pierre, l’examinateur Aka Kouassi Raymond et le directeur de la thèse, Prof Goa Kacou.
Enoc Ligué (Stg)
« 2020 a été proclamée l’année de «Faire taire les armes sur le Continent». Comment réussir cette prouesse dans un continent aux prises avec des phénomènes prégnants tels que le terrorisme, les conflits intercommunautaires, les crises pré et post électorales ou encore les différends entre Etats ? En agissant de manière concrète sur tous ces sujets et leurs causes profondes, en se donnant les moyens politiques, militaires et diplomatiques, le pari de faire taire les armes pourrait être gagné.»