La Conférence des évêques catholiques de Côte d’Ivoire a eu une séance d’explication, jeudi 19 novembre 2020, sur le chantier de la construction de la Cité de la paix.
8 évêques et prêtres à qui « la Cité de la paix » a été expliquée par les responsables de la société en charge de la construction, Eteifa. « Les deux premiers bâtiments qui ont été validés et dont l’écart n’est pas important, les travaux ont commencé par le terrassement au fond. Nous allons construire un voile pour avoir le bon niveau et remblayer à partir du mur. Une fois que le remblayage fait, l’entreprise chargée du bâtiment va commencer les deux premiers bâtiments », a expliqué Claude Kouamé, directeur des études à Eteifa.
La Cité de la paix dont les travaux ont commencé, il y a quelques mois, bénéficie, déjà, de l’expertise de plusieurs ingénieurs et ouvriers à la tâche. « Les travaux ont commencé. Il y a eu le travail technique et les dossiers ont été fait et validés par le bureau d’études, qui ont porté déjà leurs fruits. Les premiers bâtiments vont surgir de terre, dans quelques instants (voiries et réseaux divers). D’ici peut-être un mois, d’autres bâtiments vont surgir de sorte que dans peu de temps, nous attendons les plannings actualisés pour avoir l’ensemble des bâtiments qui ont surgir de terre », a confirmé Claude Kouamé.
Les évêques ont posé également des questions sur l’évolution du terrain. Les responsables ont répondu, en autres, que cela dépendra du plan d’urbanisme d’Abidjan. Pour eux, il est toujours possible de revoir les dimensionnements et hauteurs des bâtiments. Mais les coûts allaient être revus à la hausse.
La Cité de la paix, qui est un bâtiment de haut standing, avec des habitations, sera livrée dans 18 mois.
Magloire Madjessou











































« 2020 a été proclamée l’année de «Faire taire les armes sur le Continent». Comment réussir cette prouesse dans un continent aux prises avec des phénomènes prégnants tels que le terrorisme, les conflits intercommunautaires, les crises pré et post électorales ou encore les différends entre Etats ? En agissant de manière concrète sur tous ces sujets et leurs causes profondes, en se donnant les moyens politiques, militaires et diplomatiques, le pari de faire taire les armes pourrait être gagné.»