Un second centre culturel a été construit dans le village de Melakassia dans la sous-préfecture de Sangouiné par le maire Dion Rémi. Celui-ci a été inauguré, le samedi 19 mars 2022, en présence des sous-préfets de Sangouiné, Bogouiné et Gbangbegouiné Yaty.
Le premier magistrat de Sangouiné a mis en évidence sa volonté de vouloir faire éviter l’exode rural aux jeunes des villages de sa commune. Mais en plus, la présence de ces centres va permettre aux villages d’être animés. D’où doter chaque village de Sangouiné d’un centre culturel.
Dion Rémi entend orienter sa politique dans le sens de celle du président de la République Alassane Ouattara, qui entreprend beaucoup d’actions de développement au profit des populations de la Côte d’Ivoire et des jeunes en particulier. Voilà pourquoi, dans le programme triennal de la mairie de Sangouiné, une marge importante du budget de cette institution a été réservée pour la construction des infrastructures dans les villages de cette commune.
Le premier magistrat de Sangouiné a soutenu que la présence de ces nombreux cadres, eux-mêmes jeunes et intellectuels à cette activité explique la synergie d’actions que les jeunes veulent impulser pour le développement de la région du Tonkpi et de Sangouiné.
« Nous nous réjouissons de ce que tous ces sous-préfets ainsi que Yaké Evariste, tous mandatés par le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Diomandé Vagondo et le président de la République aient donné un cachet spécial à cette importante activité », a affirmé Dion Rémi. « Je suis un fils du canton Gouané, dont fait partir Melakassia. Donc à travers cet acte, nous signons ainsi un solide pacte social, qui fera bénéficier ce canton de plusieurs infrastructures de ce genre dans beaucoup d’autres domaines« , a-t-il fait savoir.
Pour rappel, Dion Rémi a inauguré un premier centre culturel, le vendredi 11 mars 2022, à Gouagonopleu dans la commune de Sangouiné. Lesdits centres culturels ont coûté 34.000.000 Fcfa soit 17 millions FCfa pour chaque centre.
Alain Zigo, Correspondant régional
« 2020 a été proclamée l’année de «Faire taire les armes sur le Continent». Comment réussir cette prouesse dans un continent aux prises avec des phénomènes prégnants tels que le terrorisme, les conflits intercommunautaires, les crises pré et post électorales ou encore les différends entre Etats ? En agissant de manière concrète sur tous ces sujets et leurs causes profondes, en se donnant les moyens politiques, militaires et diplomatiques, le pari de faire taire les armes pourrait être gagné.»