Qu’est-ce qui se passe entre le Repprelci-Pnci ? Le torchon brûle entre ces organisations en charge des entreprises de presse numérique. Sylvain Namoya, promoteur de site, interpelle le président de l’Union des journalistes devant cette affaire, qui ne fait que prendre des proportions inquiétantes.
Depuis bientôt, deux semaines, rien ne va entre les organisations de la presse numérique en Côte d’Ivoire. Entre elles, c’est désormais la guéguerre. Des discours, déclarations et action en justice sont devenus monnaie courante. Il y a une semaine, des journalistes et organes de presse numérique, surpris de voir leurs noms sur la liste de cette Plateforme numérique de Côte d’Ivoire (Pnci), dirigée par Joël Nianzoun, ont exigé leur retrait sur cette liste, prétextant n’avoir pas été informés.
Je voudrais, ce matin, interpeller publiquement, Jean Claude Coulibaly, le président de l’Unjci sur les palabres Repprelci-Pnci…
Le journaliste et promoteur du site Citoday.net, Sylvain Namoya, constatant cette guéguerre entre le Réseau des professionnels de la presse en ligne en Côte d’Ivoire (Repprelci) et la Plateforme numérique de Côte d’Ivoire (Pnci) a interpellé, lundi 26 avril 2021, le président de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire, Jean Claude Coulibaly, sur cette affaire Repprelci-Pnci. « Je voudrais, ce matin, interpeller publiquement, Jean Claude Coulibaly, le président de l’Unjci sur les palabres Repprelci-Pnci et la guerre que mène le Repprelci spécialisé dans les courriers de dénigrement au ministère de la communication, de l’Anp, la Haca, les ambassades, les rédactions », a interpellé Sylvain Namoya.
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Pour le journaliste Namoya, il demande au président Coulibaly de s’impliquer personnellement dans cette affaire, avant qu’il ne connaisse un autre rebondissement aux conséquences inimaginables. « En tant que président de notre faîtière, il est temps d’agir avant qu’il ne soit trop tard », pense-t-il. Poursuivant, il espère encore que le président de l’Unjci n’a pas choisi son camp dans cette affaire…
Magloire Madjessou
« 2020 a été proclamée l’année de «Faire taire les armes sur le Continent». Comment réussir cette prouesse dans un continent aux prises avec des phénomènes prégnants tels que le terrorisme, les conflits intercommunautaires, les crises pré et post électorales ou encore les différends entre Etats ? En agissant de manière concrète sur tous ces sujets et leurs causes profondes, en se donnant les moyens politiques, militaires et diplomatiques, le pari de faire taire les armes pourrait être gagné.»