Après sa nomination au Congrès de Yamoussoukro, mardi 19 avril 2022, le vice-président de la République, Tiémoko Koné, a prêté serment, mercredi, au Palais de la présidence Plateau, devant le Conseil constitutionnel.
Devant le Conseil constitutionnel de Côte d’Ivoire, le vice-président de la République de Côte d’Ivoire, Tiémoko Meyliet Koné, a prêté serment en présence du chef de l’Etat, Alassane Ouattara et du premier ministre, Achi.
Dans son adresse, le vice-président de la République, Tiémoko Meyliet Koné, a relevé les grands chantiers entrepris par le président Ouattara, depuis plus de 11 ans. Ces priorités, dit-il, sont de ramener et consolider la paix en Côte d’Ivoire ; la sécurité et promouvoir le développement ; la prospérité pour tous les Ivoiriens. « Aujourd’hui, les résultats de cette politique sont visibles (…). Ils sont témoins de la transformation qualitative de notre pays, et ce, dans les domaines », a-t-il indiqué.
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Avec tous ces programmes réalisés, il estime que désormais la voie de la Côte d’Ivoire porte et compte sur le plan international. Selon lui, le président Ouattara a depuis son accession à la magistrature du pays consolidé la triptyque paix, sécurité et cohésion, socle de progrès. « Favoriser la création de richesses, source d’emplois en visant la transformation structurelle, notamment l’industrialisation de notre économie ».
De tous les acquis obtenus pendant ces années, le vice-président de la République a souligné mesurer les défis, qui sont les miens, dans les fonctions de vice-présidence. « Je mets à votre disposition pour la poursuivre à vos côtés, les initiatives de consolidation de notre démocratie, de transformation de notre économie. Vos orientations et conseils constitueront toujours la boussole de mes actions », a affirmé Koné Meyliet.
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Quant à Mamadou Koné, président du Conseil constitutionnel, il a rappelé à l’élu du jour, ses nouvelles responsabilités à la tête de la vice-présidence, tout en lui demandant de respecter la Constitution.
Magloire Madjessou
« 2020 a été proclamée l’année de «Faire taire les armes sur le Continent». Comment réussir cette prouesse dans un continent aux prises avec des phénomènes prégnants tels que le terrorisme, les conflits intercommunautaires, les crises pré et post électorales ou encore les différends entre Etats ? En agissant de manière concrète sur tous ces sujets et leurs causes profondes, en se donnant les moyens politiques, militaires et diplomatiques, le pari de faire taire les armes pourrait être gagné.»