Le lundi 2 septembre 2024 s’est tenue la réunion de rentrée de l’année scolaire 2024-2025 au Lycée moderne d’Anyama. La cérémonie était présidée par le Professeur Mariatou Koné, ministre de l’Éducation nationale et de l’Alphabétisation. Lors de la réunion, le directeur de la Vie scolaire, Gboko Kouakou Adjoumani, a pris la parole au nom de sa direction pour présenter le projet Eau, Hygiène et Assainissement (EHA).
Lors de sa présentation, Gboko Kouakou Adjoumani a souligné que le projet Eau, Hygiène et Assainissement (EHA) vise à promouvoir l’accès à l’eau potable, à améliorer les conditions d’hygiène et à garantir un environnement sain dans les établissements scolaires.
Il a expliqué que ce projet a pour objectif de sensibiliser les élèves, le personnel enseignant et les communautés scolaires sur l’importance de l’hygiène et de l’assainissement, de mettre en place des infrastructures appropriées telles que des points d’eau potable et des installations sanitaires, et de promouvoir des pratiques d’hygiène adéquates pour prévenir les maladies d’origine hydrique.
ce projet a pour objectif de sensibiliser les élèves, le personnel enseignant et les communautés scolaires sur l’importance de l’hygiène et de l’assainissement
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En mettant l’accent sur l’EHA, a-t-il précisé, le projet vise à créer un environnement propice à l’apprentissage et à la santé des élèves, contribuant ainsi à leur bien-être et à leur réussite scolaire.
Une délégation de son département y était pour le soutenir dans ce projet.
La cérémonie a également vu la présence de trois autres dont les ministres Mamadou Touré de la Promotion de la jeunesse, de l’Insertion professionnelle et du Service civique, le Professeur Adama Diawara de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique et Françoise Remarck de la Culture et de la Francophonie.
Narcisse Konan
« 2020 a été proclamée l’année de «Faire taire les armes sur le Continent». Comment réussir cette prouesse dans un continent aux prises avec des phénomènes prégnants tels que le terrorisme, les conflits intercommunautaires, les crises pré et post électorales ou encore les différends entre Etats ? En agissant de manière concrète sur tous ces sujets et leurs causes profondes, en se donnant les moyens politiques, militaires et diplomatiques, le pari de faire taire les armes pourrait être gagné.»